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Eduquons, éduquons...
Très intéressant reportage (ça arrive...) ce soir aux informations télévisées.
Un nombre croissant de jeunes titulaires de baccalauréats professionnels s'inscrivent à l'Université. C'est par pure démagogie que cette possibilité fut accordée. Les soixante-huitards demeurés et leurs disciples qui ont encore beaucoup d'influence (délicat euphémisme...) dans le "mammouth" cher à Alègre (et qu'il n'a pas du tout dégraissé, ses successeurs non plus d'ailleurs...), ces chers attardés, donc, cèdent toujours le plus naturellement du monde à toutes les pressions (qualifiées alors de volonté populaire...) La droite molle ne fait pas mieux, surtout en ce qui concerne l'Education Nationale…
La possibilité en question va à l'encontre de ce qui avait été prévu lors de la création des ces "peaux d'ânes" du plus beau style yéyé... La finalité était l'entrée directe dans la vie active.
Nous souvenant des obstacles à grand-peine surmontés lors de la mise en place des B.E.P.(bien que préconisés par le patronat, plusieurs années après leur officialisation par l'Education Nationale, ces diplômes, pseudo-C.A.P à la petite semaine, n'étaient pas reconnus par la plupart des Conventions Collectives), nous étions un certain nombre (petit, petit nombre) d'acteurs de l'enseignement professionnel à nous être opposés à la création du "Bac Pro". En vain, bien sûr, face à la coalition ministère-syndicats d'enseignants. Que peut apporter l'appellation "bachelier" appliquée à de futurs professionnels ? Rien, sinon une vaine gloriole et la tentation compréhensible d'aller voir plus loin et plus haut, cette fausse réussite à un sous-diplôme, créé pour plaire à la majorité, donnant l'impression que tout est possible. Casse-gueule pour beaucoup, beaucoup trop... Il n'est pas question de mettre ici en doute la qualité de la formation technique et de la valeur des stages en entreprises mais l'enseignement général prodigué pendant les deux années de préparation ne peut autoriser la poursuite de n'importe quelle étude universitaire... Le baccalauréat, diplôme d'enseignement général (le plus général possible) étant en France le premier grade universitaire, donner le "titre" de bachelier à de jeunes professionnels (qui auraient fort bien pu s'en passer), c'était, dès le départ, une véritable escroquerie qui pouvait laisser présager la suite, une action lamentablement pousse-au-crime.
Il existait jadis des Brevets d'Etudes Industrielles, il existe encore des Brevets de techniciens, de Techniciens Supérieurs, des Brevets Professionnels de très haut niveau, des diplômes délivrés par les sociétés de Compagnons... qui permettaient et permettent toujours de se perfectionner et de grimper dans la hiérarchie professionnelle et sociale, ( accessibles sans bac). Mais ce n'est pas la voie de la facilité, il faut "en vouloir"... Car il existe en outre d'autres chemins que le lycée et la fac pour les gens qui "en veulent", qui ne veulent pas jouer les "grands veaux sous la mère", la mère de chair et de sang (les parents qui paient) et la "mère-patrie" (pardon, gauchistes et beaux esprits de mon cul pour oser utiliser des expressions aussi désuètes et périmées à votre goût), la collectivité, les contribuables qui crachent au bassinet pour le confort de quelques-uns... L'apprentissage rend aujourd'hui tous les échelons accessibles, la Formation Continue permet à chacun d'évoluer tout au long de la vie mais cela, bien entendu, au prix d'un travail acharné que la plupart refusent.
Présager la suite, avons-nous dit ? Quelle est-elle ? Le reportage télévisé permet de s'en faire une idée.
Les nouveaux titulaires de baccalauréats professionnels (les plus lucides d'entre eux) cherchent à entrer dans des établissements préparant aux BTS (Brevets de Techniciens Supérieurs) ou dans des IUT (Instituts Universitaires de Technologie). Mais ces établissements ne sont pas extensibles à l'infini : ils doivent sélectionner et, naturellement, ne prennent que les meilleurs. Que reste-t-il aux autres, à tous ceux que l'on a berné et qui veulent profiter de leur "droit" à "l'enseignement supérieur" ? Les disciplines générales, littéraires ou scientifiques pour lesquelles ils n'ont évidemment pas été préparés... Voici enfin les résultats qui motivent ma diatribe : plus de 95% des bacheliers technologiques et plus de 98% des bacheliers professionnels y connaissent l'échec total ! Aucun diplôme, aucune carrière envisageable, l'argent des contribuables gaspillé, l'échec moral... Le reportage présente le cas d'une bachelière professionnelle en ébénisterie (noble matière s'il en est) qui, inscrite en histoire de l'art, est incapable de suivre valablement la plupart des cours et avoue son désarroi...
Souvenez-vous, il n'y a pas si longtemps... Poussés par des voyous irresponsables, aussi bien syndicalistes que politiques (de gauche, bien sûr, de gauche...), les agitateurs "jeunes" ont fait échouer la tentative (bien modeste pourtant ) du CPE... ("leur slogan : plutôt le chômage que le CPE ", écrivions-nous à l'époque). On récolte ce que l'on a semé. Ils luttaient, disaient-ils, contre "l'organisation de la précarité de l'emploi". Ils ont gagné : ils n'ont pas la précarité mais ils n'ont pas davantage d'organisation ni d'emploi. Ils ne savent que faire... Les gauchistes et leurs suppôts ont réalisé une opération bassement politicienne. Ils le payeront, espérons-le...
Pour terminer, il nous faut revenir à la phrase de François de Closets (dans "Plus encore !") à propos des 80% d'une classe d'âge au niveau du baccalauréat, (blague célèbre du (peu) regretté jospin) : "On avait oublié de leur dire" (aux jeunes) "qu'un bac pour tous c'est un bac pour rien"...
Et les choses ne vont pas s'arranger dans les universités avec l'arrivée des 88% de sous-bacheliers de la cuvée light 2006... cuvée allégée pour cause de lutte anti-CPE !
Et tout ceci n'est que l'effet pervers de cette idéologie de gauche qui promet toujours des lendemains qui chantent dans les paradis de l'Etat omnipotent et protecteur. D’un Etat pillard et destructeur des véritables richesses du pays et des valeurs fondamentales de notre civilisation.
Magnifique Brigitte, admirable Brigitte...
Il y a parfois, même sur les chaînes de télé aux ordres, aux ordres des gauchards de tout poil, des émissions présentant quelque intérêt... Ce fut le cas, hier soir de "Vie privée, vie publique" présentée par Mireille Dumas. En seconde partie, bien sûr, le plus tard possible pour emmerder le plus de monde possible avec des horaires impossibles, après une mascarade quelconque.
Brigitte Bardot interviewée par la présentatrice.
Brigitte, la grande star de ma jeunesse, toujours aussi belle, devenue un exemple d'humanité. Un exemple de lucidité, d'intelligence, de sensibilité.
Des qualités développées dans la souffrance, au milieu de gens méprisants et haineux, sous les quolibets et les crachats des bien-pensants et autres enfoirés mâles et femelles, des donneurs de leçon à géométrie peu variable, préoccupés avant tout de leur propre publicité, acteurs débiles complices de la destruction de la vraie France, politicards honteux...
Mais oui, madame la présentatrice, Mme Bardot s'occupe aussi de nous, pas seulement des animaux.
Nous le savions déjà, nous qui avons lu ses livres...
Brigitte a plus fait, jusque dans ses excès, et grâce à eux peut-être, pour la "libération" de la femme que les centaines de gauchistes affolées, moches pour la plupart, sales et mal fagotées, déchaînées dans leur délire anti-mâle. Poissardes et pétroleuses...
Madame la présentatrice, malgré vos tentatives ridicules vous n'êtes pas parvenue à lui faire renier ses propos sur les clandestins et les musulmans entre autres, qui lui ont valu des persécutions initiées par les néo-gestapistes de tous les Kgb , devant des tribunaux soumis...
Est-ce vous qui aviez invité le communiste Roger Hanin ? Bougrain-Dubourg , on comprend mais l'autre bafouilleur...
Je ne suis pas tellement républicain... bof, pas du tout même ! Mais puisqu'il y a élection présidentielle, Brigitte ne présenterait-elle pas mieux que la triste haridelle du Poitou confite en socialisme benoît que les sondages et les pisse-copies essaient de nous imposer ?
Je vote Brigitte !
Brigitte Bardot.
Une personnalité de premier plan qui proclame haut et fort qu'elle est de droite, tout en disant sa répulsion pour les magouilles de la politique de bas étage...
Une personnalité qui ne crache pas sur le Front National.
Une personnalité qui se bat pour un condamné à mort, noir, au Texas. Qui dit être opposée à la peine de mort en général mais qui s'interroge sur son application dans le cas d'assassinats d'enfants...
La rareté et la beauté, le courage et la foi, la conscience et la modestie.
Je vous salue, Madame.
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Vive nous et quelques autres...
Vive la Suisse, petit pays qui emmerde l'Union Europénne empêtrée dans sa lâcheté face à l'immigration.
Vive les Suisses puisqu'à plus de 70 % (et la totalité des cantons) ils ont adopté un sérieux renforcement des lois contre l'arrivée massive sur leur sol d'étrangers indésirables.
Vive Sarkozy le jour où il préconisera chez nous une législation semblable à celle de nos voisins helvétiques... mais en attendant...
Vive Sarkozy qui s'attaque au laxisme de la justice dans "l'île-hors-de France". Les "plus hauts magistrats du pays" et les leaders de la gauche (soutenus, bien sûr par l'ineffable Bayrou) et les syndicats etc etc ont étalé l'immensité de leur connerie en prétendant voir dans la petite phrase du ministre une attaque contre "l'indépendance de la justice"... bande de sinistres trous du cul ! Il est prouvé que des juges ne font pas leur boulot, c'est tout... et ils ne risquent rien.
Gloire à Eyrault, maire socialo de Nantes qui finance des rappettes anti-flics et (anti-françaises) le jour où deux CRS se font massacrer par des voyous et qui a le culot de vouloir donner une leçon de morale au ministre de l'intérieur...
Vive les policiers qui veulent faire leur boulot et qui risquent gros...
Vive les Hongrois qui se battent contre le cynisme du premier ministre socialiste qui dit tout bas que sa victoire électorale est due à l'accumulation de mensonges. Il reconnaît son crime mais le socialiste espingouin zapatero (dit "le bouif ", dit "vieille godasse") n'a toujours pas admis que c'est un horrible attentat qui lui a permis d'accéder au pouvoir.
En ce jour anniversaire, Vive la résistance de l'Alcazar de Tolède face à la barbarie rouge
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Avis de grand frais sur Lou Clapas
Il a pris des coups de pied au cul mais il est toujours là, et un peu là (pas trop las). Il éructe des injures racistes (ce mot, accommodé à toutes les sauces est à la mode, et Mister F. se veut très up-to-date ), il n'a pas vraiment été jeté du parti totalitaire-rose-culotte-sale auquel il appartient encore (of course), il n'est plus maire (il s'est fait remplacer par "une con", c'est lui qui l'affirme si élégamment...), il préside encore l'agglo et la région.
macarel ! aquo es una granda vergonha !
Il voulait prolonger l'agglo montpelliéraine jusqu'à l'étang de Thau. Ses administrés auraient ainsi pu profiter gratuitement des vertus thérapeutiques de ces eaux qu'on prétend très efficaces pour l'élimination des hémorroïdes et contre la distension des sphincters anaux. Les associations professionnelles de défense des ouvreuses de moules et des mangeurs de concombre de mer étaient très favorables à cette extension.
Hélas, un méchant préfet n'en a pas voulu...
Montpellier vient d'être classée "ville la plus gaie de France", normal avec de tels boute-en-train...
Vous dites ? Je me trompe ?
C'est "la ville la plus gay de France" ?
Si vous voulez... ça ne change rien (entre boute-en-train... ), vous pouvez même y ajouter la Navarre pour faire bonne mesure.
Aux dernières nouvelles, il paraît que Frêche, particulièrement perplexe, s'interroge sur le design du futur logo commémorant cette haute distinction.
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Appel au revenant... (amusette crustacée)
Les dix zinzins socialistes, j'ai l'impression de commettre un pléonasme, qui prient saint jospin (le seul saint parpaillot et athée à la fois) n'ont pas peur d'être accusés de vouloir faire du neuf avec du vieux (y a d'ailleurs du beau monde tout neuf avec Harlem Désir...)
Ont-ils à ce point la trouille de dame Ségolène ? Craignent-ils qu'elle n'ait pas assez de ressource pour aller jusqu'au bout de la course de fond ? ou ont-ils peur qu'elle batte les vieux éléphants prostatiques à plate couture (expression paradoxale ô combien...) ? D'autant plus qu'elle a maintenant le soutien du pur et dur Montebourg, accusateur public de prisunic, le Fouquier-Tinville du pauvre. Mais avec le play-boy en question elle risque de faire des jalouses qui, de dépit, pourraient aller voir ailleurs...
Ah ! les divins aléas de la grande politique ! l'adrénaline jusqu'à l'orgasme !
Le revenant de l'au-delà antédiluvien a beau agiter sa crinière blanchâtre et essuyer ses lunettes d'or contre-plaqué de 70 carats, il a peu de chances de les accrocher... il pourra, une fois de plus, faire semblant de raccrocher les gants...
Autre bizarrerie dans les actuels jeux du cirque, le clown François-le-frétillant-minus-nounours-judas-béarnais (pauvre bête, le nounours, pas le machin) ne fait guère parler de lui depuis quelque temps. Prépare-t-il un coup d'éclat ? Certains laissent entendre qu'il attend un heureux événement, la montagne va effectivement accoucher d'une souris... Plus sérieusement (?!) il va lui aussi se rallier. Le problème, c'est qu'il ne sait pas encore à qui. Il hésite, paraît-il, entre Besancenot-le-petit-facteur, Arlette-la-timbrée et la Buffet-du-PC. D'autres penchent pour un rapprochement avec gente dame Ségolène (François, l'autre, François-l'insipide-fromage se fait du souci).
Bon, après ces quelques lignes de rabâchage, (pourquoi les écrire ? sais pas, personne n'est parfait) on n'est pas plus avancé...
Et alors, me direz-vous ?
On s'en fout.
Les vilains guignols des palais ripoublicains nous piquent assez de pognon pour s'amuser comme de petits fous et nous amuser par la même occasion. S'ils ne le font pas, on peut bien rire à leurs dépens...
J'aimerais, pour en terminer vraiment avec eux (ouais, ouais) leur indiquer un petit jeu qui nous amuserait plus que tous les autres et aurait l'avantage, après quelques pétarades, un peu de fumée et quelques éclaboussures, de nous ramener le grand silence blanc : la roulette russe, au finish.
C'est bête et méchant ?
M'en fous.
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32 - Dies irae (les raisons de la colère)
y en a pas mal de raisons... des raisons presque futiles, d'autres beaucoup plus graves...
D'abord mon jean-foutre de FAI : me suis retrouvé privé d'internet pendant quatre ou cinq jours, problème national sur le réseau, paraît-il... national ou pas il m'emmerde. C'est la troisième fois en moins d'un mois ! Encore un coup et je le cite, je le combats, je le quitte...
Puis vient cette putain de mascarade des diplomates, ce sont des hommes politiques et comme hommes politiques du ventre mou, ils ne servent à rien, de pitoyables guignols qui s'agitent en attendant que les States aient sifflé la fin du match. Plus sanglant que la finale de la coupe, mais y en a qui doivent trouver ça marrant, pas besoin d'aller à la corrida espingouine pour voir couler le raisiné...
Et cette chère canicule, gros titre sur cinq colonnes à la une : une vieille dame de 90 ans (m'aurait étonné qu'elle soit jeune) meurt d'hyperthermie... qu'en des termes galants ces choses-là sont dites... Sensationnel, n'est-ce pas ? L'association mondiale des héritiers vient de porter plainte devant le TPI : en 2006, on fait moins bien qu'en 2003...
C'est ce moment critique que des toubibs (chirurgiens plus exactement) ont choisi pour se mettre en grève... Rien à voir avec la canicule ? voire, on connaît bien la force de l'exemple et la volonté destructrice des syndicats... Ils paient trop cher leurs assurances ? si certains d'entre eux avaient fait moins de conneries...
Galanterie aussi pour les « vieilles charrues » bretonnes : faut pas gâcher un festival… La femme trouvée morte dans sa guitoune a fait une "surdose médicamenteuse". Dans une rave-party banale peut-être aurait-on employé d’autres mots…
On va "régulariser" des dizaines de milliers de clandestins (des centaines de milliers en Espagne et en Italie mais là, il y a de la gauche au pouvoir, retenez la leçon). Ils sont venus chez nous sans avoir été invités, ils sont entrés par effraction, comme des voleurs et on les récompense...
Eux, à la limite, on les comprend, ils profitent ou abusent de la stupidité de nos dirigeants mais on devrait, pour rétablir un certain équilibre, foutre dehors les voyous qui, en toute illégalité, (mignonnes chochottes tout excitées de leur audace, mais sans grand risque : les juges sont de leur côté), les défendent, les parrainent, toujours prêts à lècher des culs, même et surtout les plus embrenés, à exalter ce qui affaiblit et humilie le pays. Les détraqués détraquant...
Et TF1 s'amuse encore avec son ppda d'occasion, le pauvre-petit-jeune-démuni-des-banlieues-discriminé-positif.
Ouf, ça va un peu mieux...
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31 - Un acte fondateur de la république...
(et il n'y a pas que l'histoire de France...) Qu'elle était belle la révolution dans les "Malet-Isaac" de l'école laïque...
Oui, mais d'autres historiens ont secoué le cocotier (?!) et la tuerie génitrice de la gueuse en a pris un sale coup...
Une atrocité bien révolutionnaire et républicaine parmi tant d'autres... A l'occasion de l'inauguration récente d'un mémorial en Vendée, voici le texte publié par l'Union Royaliste BVM d'après le site "les manants du roi" :
Par un décret du 1er octobre 1793, la jeune république française lance ses « colonnes infernales » à travers la Vendée :
"Il sera envoyé en Vendée des matières combustibles de toutes sortes pour incendier les bois, les taillis et les genêts. Les forêts seront abattues, les repaires des rebelles anéantis, les récoltes coupées et les bestiaux saisis. La race rebelle sera exterminée, la Vendée détruite."
Au Lucs-sur-Boulogne, la population est enfermée dans l’église du village et 564 personnes, femmes, enfants, vieillards seront brûlés vifs au nom de la République
Il n'y a donc pas eu que Das Reich...
Il y a les Turreau, les Cordelier , Amey et ses fours à pain crématoires, tous les vaillants généraux à l'écharpe tricolore et au chapeau emplumé dont on a voulu faire des héros... une longue suite de massacreurs chargés de verser le sang impur, d'exterminer les féroces soldats (soldats, les gens du Lucs... ) mugissant dans les campagnes de chez nous, de détruire la race honnie de ceux qui pensent autrement...
Rien de nouveau sous le soleil.
Mais les dignes héritiers de ces bourreaux se réclament aujourd'hui de l'humanisme le plus fraternel. De la fraternité ils ont fait une devise avec des mots qu'ils ont galvaudés...
Ils se veulent champions des droits de l'homme...
Et il n'y a pas que l'histoire de France...
Partout, partout...
Pour faire triompher ce qu'ils ont baptisé "bonne cause", ils ne reculent devant rien.
Les Nordistes américains, grands "libérateurs d'esclaves", ont eu Sherman et ses colonnes aussi infernales que celles de la Terreur made in France, ils ont eu leurs camps de concentration...
Pour vaincre l'abominable fascisme, on détruit Dresde, on anéantit Tokio avec des bombes incendiaires, on sacrifie Hiroshima et Nagasaki.
Et le fascisme est toujours là, il a simplement changé de couleur...
On n'en finirait pas d'énumérer ainsi les glorieux faits d'armes des révolutionnaires "prolétariens"ou "socialistes", "du camp des forces démocratiques"...
Pour eux, pères nobles intouchables, les crimes contre l'humanité, les génocides sont toujours le fait de l'ennemi.
Ils ont aujourd'hui pour les soutenir dans l'entreprise généralisée de décervelage l'ONU, le TPI, les lois liberticides scélérates dont se dotent bien des Etats, les médias...
Et la France, hélas, est encore une fois dans le coup...
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30 - Récréations extra-républicaines
Le jour du 14 juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne
En n'écoutant pas le clairon qui sonne
Mais les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux...
(Georges Brassens - la mauvaise réputation)
Je ne suis pas antimilitariste par principe ni pacifiste à tout crin.
Je déteste le 14 juillet, commémoration du massacre d'invalides et d'hommes désarmés pour la libération d'une poignée de prisonniers de droit commun et de quelques détraqués...
Belle victoire ! L'exemple est donné : les fous sanguinaires vont pouvoir se déchaîner.
C'est la IIIème république qui, en 1880, décida d'en faire la fête nationale. Cette troisième, la gueuse, disaient nos aînés, qui naquit dans la honte et dans le sang, qui vécut dans la bêtise et la corruption et qui finit dans la honte et dans le sang...
Un symbole.
Aujourd'hui un président bafouille lamentablement et se moque de nous.
Ajourd'hui, la sinistre justice de notre triste pays accuse, de la façon la plus stupide et la plus scélérate, de crimes improbables un dirigeant politique lucide et sincère qui ose dire haut et fort ce qu'il pense (et que beaucoup d'autres pensent aussi sans oser le dire), un homme qui gêne trop de monde...
Alors qu'on laisse végéter et baver dans sa longue et tranquille agonie un PC qui fut complice non repenti des systèmes parmi les plus meurtriers du XXème siècle...
On piétine la liberté d'expression. On est sur le chemin d'une nouvelle inquisition très républicaine, du règne de la délation généralisée par associations spécialisées...
La haine, la vengeance sous couvert de droit. Bientôt les tribunaux du coin d'un bois... ou les fusillés pour l'exemple, le falot politique...
On bafoue l'égalité avec les fameuses "discriminations positives" et autres billevesées pousse-au-crime.
La fraternité n'est plus qu'un vain mot dans un pays en guerre civile larvée mais permanente... Elections obligent.
Syndicats et partis de gauche, intellos et paillasses, maîtres-à-penser auto-proclamés à la moralité douteuse, soutiens constants de trublions plus ou moins étrangers, s'y complaisent et s'y vautrent comme porcs dans la fange.
La Vème, née d'un élan populaire bientôt trahi, finira-t-elle, elle aussi dans la honte (c'est en bonne voie) et dans le sang ?
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29 - le président-attrape-tout ou n'importe quoi dans un grand verre de préférence...
Je ne sais plus qui a dit (je ne vais pas chercher ce soir, m'en fous...) à peu près (excusez le manque de sérieux...) " quand je vois mes adversaires m'applaudir, je me demande quelle connerie je viens de dire". L'auteur de cet apophtegme, je me rachète comme je peux... a certainement utilisé un langage plus châtié que le mien. Chirac devrait méditer cette vérité première, lui qui aime tant les arts premiers. Il vient en effet de recevoir des félicitations appuyées d'un "haut" responsable de l'UNEF, vous savez bien cette officine qui se prétend syndicat d'étudiants, célèbre surtout pour permettre à une minorité de bloquer les universités, les lycées avec la complicité de la plupart des doyens de fac et de l'immense majorité des enseignants de tous ordres et de tous sexes (?!). Félicitations pour notre fric que le Révérend Elyséen va jeter généreusement dans le gouffre sans fond de la grande fabrique de fainéants (ou de chômeurs) sous la forme d'allocations aux étudiants. Gageons que le Splendide va ordonner que soient servis d'abord "les pauvres jeunes démunis des banlieues", discrimination positive oblige (dans ce cas-là on n'exigera pas les "papiers" habituellement nécessaires, les défenseurs des sans-papiers - les artistes-intellos-politicards qui incitent les gens à se torcher avec les doigts - sont prêts à monter au créneau...)
Je me rends bien compte que je me répète, toujours les mêmes expressions, les mêmes invectives, les mêmes références. Je ne me renouvelle guère mais, Grand Un, je me fais plaisir, Grand Deux, si je peux faire plaisir à quelques amis... " Ils" nous abrutissent tellement avec leurs stupidités inlassablement répétées à longueur de journée par les médias à la botte qu'on en viendrait tout naturellement à succomber à l'encéphalopathie bovine ambiante si on n'essayait pas de réagir violemment et constamment...
L'idée géniale du Superbe Suprême tombe bien d'ailleurs, il va y avoir beaucoup de monde aux guichets, tous nos gonfle-machins célèbrent un record : plus de 81% d'admis aux baccalauréats (pluriel car il y en a tant aujourd'hui, pour tous les genres de Q.I... oui mais Flaubert dirait avec nos philosophes du café du commerce et Mme Pipelet , MM Bouvard et Pécuchet " ce n'est pas parce qu'on n'a pas les diplômes qu'on devrait qu'on est plus bêtes que ceux qui en ont" ou, variante "ce n'est pas parce qu'on a des diplômes qu'on est plus intelligent que ceux qui n'en ont pas". avec le bac actuel, c'est sûr...
Le jospin doit frétiller dans sa tombe. Comment, il n'est pas mort ? ah, oui, vous avez raison, je confondais avec Chamil Bassaïev... Quoi qu'il en soit, le Magnifique ne pouvait lui procurer plus de joie (il aurait peut-être pu en 2002 mais il y a eu un os dans le fromage) : le Très Honorable a réussi à dépasser les fameux 80% d'une classe d'âge au niveau du bac, chers à son ex-premier ministre. Voyez comme ils s'aiment, quelle belle émulation républicaine ! On a dépassé le record de 1968...
Dans tous les cas, il fallait bien récompenser les émeutiers, d'ailleurs les boute-feux d'hier sont les correcteurs d'aujourd'hui...
Il ne reste plus qu'à pousser le bouchon un peu plus loin. C'est fait, croyons-nous savoir : une proposition de loi émanant des groupes socialo-cocos (ces derniers conduits par le joyeux drille Gayssot). Malgré le nom du zozo, il n'est bizarrement pas pour une fois question d'homosexualité. En voici l'essentiel : quand un nouveau papa viendra déclarer la naissance de son enfant au bureau de l'état-civil, on lui demandera s'il veut qu'on en fasse immédiatement un bachelier (ou une...) contre la modeste somme d'un centime d'euro (les communistes voulaient la gratuité absolue). Pourquoi attendre l'adolescence ? Il suffit d'ajouter une rubrique au livret de famille...
Les gais-lurons et belles-lurettes de l'hémicycle n'ont pas lu la phrase de François de Closets " Trois ans après leur entrée dans " la vie active active" 18 % des bacheliers n'ont pas de travail... On ne leur avait pas dit que le bac pour tous n'est qu'un bac pour rien."
Une élection s'approche à grands pas, au diable les garde-fous...
Pour rien, rien... La France d'aujourd'hui navigue dans la nullité crasse.
Rien d'autre à l'horizon ?
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