en guise d'édito...

15.08.2005

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Fable-minute

En parlant du Canada

Notre dame bécassine

A sorti la grosse bertha

Et d’une connerie assassine

Publiquement a mis bas.

Pour qui donc s’est-elle prise

Pour Grand Charlot d’autrefois ?

Schizophrène, la marquise,

Manquait vraiment plus que ça

De la Chine elle félicite

Les tribunaux expéditifs

Et de bravitude en poncifs

Ce sont pets de dynamite

Qu’elle planque dans son soutif

Certains voudraient la mettre

Au palais présidentiel

Son seigneur, pas toujours maître

Pris d’un doute existentiel

Pourrait un jour l’envoyer paître

Dans sa rage elle appuierait

Sur le bouton démentiel

Qui nous enverrait

Rapidement tous au Ciel…

Quelle morale pour cette fable ?

Mieux vaut aller au bordel,

perspective plus agréable

et ça fera bien moins d’histoires

de s’arrêter au septième ciel

tant aimable

que de nous confier,

à une nana très irritable

qui perd si vite les pédales
et prête à tout pour régner…

~~~~~~~~~~

Post-Scriptum (à la poubelle le P.S. traditionnel, comme tous les PS du monde)... il faut vraiment être de mauvaise foi pour écrire un truc pareil (la prétendue fable-minute) ! la politique étant l'art de la mauvaise foi, j'ai bien droit, moi aussi, de temps en temps, à participer aux réjouissances...
Comme la miss fromages de Poitou-Charente et de Hollande réunis, j'aimerais bien voir le drapeau du Québec rejoindre celui des autres nations... Pas pour les mêmes raisons que la donzelle :

moi, je suis sincère,

elle, est en campagne électorale

elle a à foutre que dalle

de nos frères

ce n'est qu'un argument publicitaire...

Je serai heureux lorsque je verrai un drapeau à la fière fleur de lys et à la croix blanche côtoyer et reléguer au rang d'accessoires poussiéreux les bandes colorées, les étoiles, lunes, sabres... slogans en vermicelles et autres colifichets d'occasion...

Vive la Belle Province !

Mes maîtres, les Bons Pères, nous faisaient chanter "Nous voulons Dieu dans nos écoles, nous voulons Dieu, c'est notre Roi..." et "Catholique et Français pour toujours...". Moi, bien sûr, je préfèrais "Prends ton fusil, Grégoire..."

J'étais jeune, alors, j'avais composé, tout simplement pour mon plaisir, mon propre drapeau (la république ne m'a jamais vraiment concerné, pas plus que les bouffons qui la dirigent). Malgré mes pérégrinations immodérées et inconsidérées, je suis heureux de mon retour à mes premières amours... Je n'ai pas toujours eu, hélas, la fidélité comme idéal mais je pense avoir enfin trouvé le port...

Mauvaise foi, parfois, je vous dis, pas toujours...

~~~~~~~~~~

Post Scriptum n°2

Soférino Gate (1)
A force d'entendre leur championne radoter un peu partout sur la planète les socialos ont décidé de l'enfermer dans un cocon de silence : ils ont acquis un "brouilleur" afin que les méchants pisse-copies à l'affût ne puissent avoir davantage connaissance de ses inepties et ne les répandent alentours.
Le Huis-clos plutôt que la chienlit.
On a pourtant cru percevoir quelques murmures du genre : Hélas, la Grande Muette, c'est pas chez nous !

Solférino Gate (2)
Devant la perspective du voyage de Seccotine en Algérie et le risque le l'entendre proclamer, comme le fit jadis son actuel inspirateur, un retentissant "Tous Français de Dunkerque à Tamanrasset", l'inquiétude grandit de jour en jour, d'heure en heure, de minute en minute à l'annexe du Grand Orient...
Il paraîtrait même que Frêche et Montebourg, excédés, entreraient en dissidence et prépareraient un Coup d'Etat. Ils n'attendraient plus que le feu vert d'Alègre et la confirmation de la neutralité de Lang pour déclencher l'action.

Mauvaise foi et langues de vipères...

Solférino (3) and Beauvau Gate
Une grosse merde de la presse qui, indûment, se prétend brimé tente une opération de diversion pour venir au secours de Bécassine en difficulté dans les sondages après ses déclarations plus stupides les unes que les autres... Des maîtres en délation et chantage (grâce sans doute à leurs relations adultérines autant qu'incestueuses avec les barbouzards et divers robins que tous les gouvernants républicains ont subventionné et subventionnent encore grassement, avec la complicité des "fils de la veuve" de tout bord) essaient de faire croire à un vague complot ministériel...

Dans ce petit monde de ripoux politico-médiatiques, à mille lieues des préoccupations populaires, tout le monde est capable de tout...

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Coup de Griffe, exclusion et limites…

Je viens de passer quelques jours de repos dans ma chère Catalogne du Sud… Un temps splendide, des gens sympathiques, confrontés, eux aussi à des problèmes d’identité.
Malgré la folie meurtrière de certains voisins, très peu de haine dans l’air…

Ils ont payé pour voir… Jadis et naguère.

Fort bien mais pendant ce temps, mes rares et précieux lecteurs se lassent et m'abandonnent un peu...

J'expliquerai mon titre mais c’était en réalité le mot paria que j’avais en tête…

Mais, à moins de me prendre pour la bécassine de la course à l’échalote ou pour Louis-Ferdinand Céline (excusez du peu), je ne me sens, ce matin, guère de goût pour le néologisme. Que pouvais-je faire avec paria ? pariatude ? bof, pas très élégant… Exclusion a un petit air de circonstance qui ne me convient guère…

J’expliquerai donc mon titre mais, en attendant, commençons par rigoler avec une petite histoire lue il y a quelques instants dans un feuillet publicitaire distribué gratuitement dans ma région. Je raccourci, je modifie :
Chirac remonte en voiture les Champs-Élysées. Delanoë, en voiture lui aussi le rattrape, le double, demande à son chauffeur d’abaisser la vitre et lance une injure en direction du président. Chirac demande à son chauffeur d’effectuer la même manœuvre et invective le maire… et rebelotte de l’un et de l’autre sur une bonne partie de l’avenue. Chirac, pour en terminer crie soudain « Embrayage ! ». Surpris, intrigué, Delanoë abandonne la poursuite et arrivé à la mairie, consulte le dictionnaire pour découvrir éventuellement le sens caché de ce mot. Que nenni !

Il ne rencontre que la définition banale : « pédale de gauche… »

Limite homophobe.

Vais-je être poursuivi pour de crime de lèse quelque chose ?

On est vraiment dans un pays de cons.

Si je cite les paroles de la Marseillaise « Qu’un sang impur abreuve nos sillons » serai-je inquiété pour racisme ? pour limite racisme ? pour manque de respect à l’hymne national ?

Accusera-t-on d’antisémitisme (au sens le plus étendu du terme) celui qui ose dire que les mutilations imposées par certaines religions sont stupides et barbares ? Comme sont ridicules leurs interdits alimentaires… Si on prétend qu’un dieu qui ose exiger d’un père le meurtre de son fils n’est pas un Bon Dieu (même si ensuite etc. etc.)…

J’ai lu quelque part que raconter des histoires de blondes était une preuve de machisme ou de sexisme…

Dans un pays où il faut une loi pour affirmer la « parité » dans le domaine électoral et le monde politique, ou celui des entreprises, on est bien obligé d’accuser les législateurs du plus laid des péchés puisqu’ils estiment que ces dames ne sont pas capables de prouver leurs qualités et d’imposer leur présence. Sont-elles fières d’être ainsi assistées ?

"Femmes, je vous aime"...
"telles qu'en vous-mêmes l'éternité vous change..."

Vais-je être accusé de faire l’apologie de criminels contre l’humanité si je dis qu’Hitler fut un vaillant combattant de la guerre de 14-18, si je prétends que les quelques tableaux qu’il a peints sont très cotés… manque de goût, peut-être ou d’information… Si je dis, après tant d’autres que du temps de Mussolini, les trains italiens partaient à l’heure…
Détails insignifiants par rapport aux faits infiniment plus importants ? La "sagesse des nations" avance que "qui vole un oeuf, vole un boeuf", qui prend la défense sur un détail soutient le tout ? La bêtise sans borne.

Si je veux étudier de plus près l’histoire des fascismes sans a priori défavorable serai-je accusé de « négationnisme » ?

A l’heure où certains se permettent impunément de glorifier Staline, Mao, Guevara, je ne peux me permettre de demander l’interdiction des partis communistes et assimilés, complices des plus gigantesques massacres de l’Histoire et des régimes les plus abjects qui sévissent encore aujourd’hui.
Le pire vous atteint quand on vous insulte, on vous menace parce que vous êtes, chez vous, ce que vous êtes et rien de plus.

Expliquer mon titre.

Je me sens bien sur Over-Blog. Il y a des gens très dévoués et affables. J’aime parcourir les blogs les plus divers, même ceux qui ont des idées fort opposées aux miennes. Qui célèbrent des façons de vivre, des mœurs que je n’apprécie guère d’habitude. Mais c’est le plus souvent bien dit, bien fait. On apprend toujours quelque chose. C’est passionnant. On est obligé de réviser, de corriger certaines de ses propres prises de position, surtout d’essayer d’éviter de blesser. Que l’on ne me prenne pas pour quelqu’un de particulièrement tolérant, la tolérance (il y a des maisons pour ça, comme disait l’autre... n'y a plus de bordels, dites-vous, vous êtes sûrs ? de toute façon m'en fous, ça ne change rien au problème) la tolérance donc, est proche du mépris.
Nous nous devons, avant tout d’attribuer leur juste valeur aux idées des autres et de les respecter.

Gros problème, où sont les limites du respectable…

Difficile d’y voir clair dans le feu du pamphlet, dans le jeu impardonnable mais si agréable de la provocation…

S’il en est une de ces limites qui me paraît incontestable, c’est bien le respect de la vie. On ne peut supporter les appels au meurtre plus ou moins déguisés, les manifestations de joie devant la mort d’un adversaire. Faut-il une loi pour ça ? La raison, l’intelligence devrait y suffire…

Mais on se sent souvent exclu… des signes qui ne trompent pas. J’ai dit par ailleurs combien j’ai mal vécu, dans mon petit monde de l’enseignement, les avanies que m’ont valu (ou values ? help… j'ai la flemme de réfléchir à ça plus avant...) mes changements d’orientation politique… J’ai eu l’impression que je ne pouvais être ni bon prof, ni bon informaticien, ni, plus tard, bon chef d’établissement parce que j’avais quitté la ligne de pensée de rigueur dans ce milieu.

Peut-être…

J’ai parfois ce sentiment ici. Il y a des non-dits.

Plus grave, quand on m’enlève des sites que j’aimais…

On vous a déclaré fasciste, raciste et quoi que vous disiez, on ne vous croira pas.

Il y a partout des textes et des images qui vous prennent à rebrousse-poil, qui vous surprennent mais qui vous obligent à réfléchir.

C’est l’essentiel

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Tout ça, c’est tellement bête, tellement méchant…

Le G.R.I.F, qui vient d’être puni pour délit de sale gueule, révèle que nos grands défenseurs du petit peuple, le couple infernalement socialiste (Bécassine à la Royale et Fromage de Hollande) savent à l’occasion profiter des bienfaits du capitalisme dans une affaire de Société Civile Immobilière au capital confortable… La réputation de générosité de ce genre de Cie à l’égard des petites gens n’est plus à faire.
Bon appétit !
(cf. « Hollande n’aime pas les riches » - http://legrif.blogspot.com/ )

Bécassine devient-elle parfois la Méchante Fée Carabosse :

Au temps de son bref sous-ministère chez Alègre, elle a eu un comportement pour le moins navrant, dans une triste affaire qui s’est terminée par le suicide d’un professeur injustement accusé de pédophilie…

Sinistre présage du scandale juridique de l'affaire d'Outreau ?

Cf. http://bernardhanse.canalblog.com/

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En guise d'édito :

Ras-le-bol et plein les couilles...

Où est passé GRIF ?

A la trappe du père Ubu ?
Sur l'ordre de quel Big Brother de chiottes ?

Nous savons vers quels salauds orienter nos recherches...

Nos champions très républicains de la gauche la plus bête du monde (ouais, chacun son tour...c'est tellement facile...),

dignement représentée dans la longue course truquée, autant que dispendieuse, par une Bécassine délirante et essoufflée,

les associations pour la propagation
virale du racisme anti-français,

tous vaillants défenseurs

de la liberté d'expression à géométrie variable,

de l'égalité dans la connerie démagogique,

de la fraternité démocratique entre copains et francs-coquins.

Ont-ils réussi à faire fermer ce site ?

Il se trouvera toujours un juge pourri, un préfet aux ordres, un flic vendu, un administrateur zélé, un gestapiste à l'affût, un tchékiste aux aguets, un délateur prêt à dégueuler son venin...

Et un raton-laveur, comme disait l'autre...

La sinistre litanie des voyous assassins de la pensée vraiment libre est infinie, comme leur connerie...

Et pendant ce temps-là...
On laisse éructer les thuriféraires paléobolcheviks et véritablement néo-nazis des gauchos enragés,

des fascistes roses et rougeoyants !

des folles en rut…

On autorise

les prêches de la haine,

les gaietés de l'escadron médiatique,
des lèche-culs de l'infâme racaille

autour de la mort d'un adversaire.

On tolère

le culte de la terreur,

et ses monstrueuses cathédrales de la honte,
les marchands de bonheur en piquouze,

les caresses incestueuses généreusement prodiguées à tous les parasites du monde.

A vomir...

le 14/01/0, 1h du matin

Avons-nous un début de réponse ?
voici un communiqué du GRIF :

"Comme nos fidèles lecteurs l'ont constaté, notre blog grif.over-blog.com a été censuré par la bien-pensance de la plateforme d'Over-blog pour "racisme" et "injures"! Nous mettons au défi quiconque de prouver que notre ancien blog contenait un seul propos raciste! Nous avons dailleurs demandé à l'administrateur de la plateforme d'Over-blog de nous dire quel propos était "raciste" afin que nous l'enlevions aussitôt mais celui-ci n'a pas su répondre à notre question! Nous avons pourtant insisté et sa seule réponse fut: "c'est à vous de le savoir"!!! "
URL du nouveau blog (http://legrif.blogspot.com/).

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Aux grands maux...

Bonaparte clame aux soudards :
Du haut de ces pyramides...
etc. C'est du grand art.
Et la suite fut splendide :
un massacre bien vachard
noté dans les éphémérides.

Une poule sur un mur...
cherche un mot, noble attitude,
pour un cerveau lent, c'est très dur.
Mais saoulée par l'altitude
la cocotte soudain glapit
"j'ai conquéri la bravitude"

et, très fière, comme elle rit
dans sa culotte elle fait pipi.

De s'esbaudir les gazettes,
C'est bien dit, bien envoyé !

Bécassine était muette,
celle du conte. Et plutôt bête,
il paraîtrait...

Il y a du bon et du mauvais

Ce n'est pas toujours la fête...

De la donzelle les amis

se retrouvent fort marris.

Grand dieu que ça les embête !
Ils sont accablés,
ils regrettent

que la leur puisse parler...

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Vive le cochon…

(où je vais être grossier, très grossier, vulgaire même... (vilainement) populaire en un mot... (bassement) démago, si vous voulez )

Sacrés nom de dieu de putains d'empaffés de merde !

Le Conseil d'Etat, accompagné et poussé par un chef d'Etat poussif, les ministres, les candidats (tous sauf un ?), les partisans politiques de l'establishment (tous sauf un ?), qu’elle que soit leur couleur, les membres d’associations, les herbivores de mauvaise foi (pardon à vous, Brigitte, vous n'entrez évidemment pas dans la catégorie des gens de mauvaise foi, vous aurez toujours une place à part dans mon panthéon), les religionnaires venus d’ailleurs aux interdits aberrants... etc. etc., avec eux, le Conseil d’Etat donc, vient de se déshonorer définitivement.
"Dans le cochon, tout est bon", c'est la France profonde qui le clame haut et fort depuis nos ancêtres les Gaulois (marrez-vous bien, connards ! et allez vous faire foutre !). Les comploteurs ont, encore une fois, trahi notre France, une fois de trop parce qu'ils ont atteint là les bas-fonds de la stupidité.

A fusiller, dans le dos, de préférence… (Rires)

Pas besoin de falot, s’ils sont trop nombreux, faut tirer à vue !
Les cons… d'Etat (des paillassons très bien payés) ont décidé d’une grandiose sentence, sans recours possible (en toute démocratie) : ces guignols de 1ère classe, considèrent que la distribution de soupe au cochon est illégale parce que susceptible de troubler l'ordre public et... républicain... (Rires)

Même et surtout si c'est gratuit pour ceux qui n'ont rien, (ben oui, naturellement... manquerait plus qu’on leur fasse payer la charité…), il faut donc que les préfets, prêts à toutes les vilenies serviles, nous empêchent de nourrir les pauvres comme nous le voulons !
Quand j'étais invité par Paul Ricard et éventuellement par Jean-Baptiste Doumeng, les deux ensemble d'ailleurs très souvent, (j’étais alors membre du PC-F), d'autres fois par Charles Pasqua et Paul Ricard (j'étais alors au RPR), il ne me serait jamais venu à l'esprit de demander un "51" ou un "Berger" (il y avait alors forte concurrence...) ou un jus de navet (je vous parle d'un temps où... chacun savait rester à sa place et ne fabriquait pas n’importe quoi).

Personne n’est obligé d’accepter une invitation, personne n’est obligé de manger ou de boire, ni d’accepter un don. Ceux qui refusent restent dehors, vont chez le voisin ou se retirent dans leur coin...

La décision des susdits cons… appelle une riposte cinglante : il faut faire ça désormais en privé, sous couvert par exemple, d'associations de défense des éleveurs de porcs (je ne les aimais pas trop jusqu'ici because l'épandage du lisier... et de l'odeur suave qui en émane...) et des charcutiers dont la profession est, chez nous, une des plus anciennes…
Je fais confiance aux vrais groupes nationalistes et caritatifs pour trouver la bonne parade.
Le cochon, c'est rien... Rien d'autre qu'un petit morceau de notre civilisation.
Le cochon, on le respecte, on le sacrifie (comme d'autres le mouton, mais plus proprement certainement), on le bouffe.

Si on n’aime pas on passe à côté, en détournant la tête, sans emmerder ceux qui aiment et en fermant sa sale grande gueule…

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L'acte gratuit ?

Gratuit, au figuré : Qui n'a pas de raison suffisante, pas de motif. Supposition, méchanceté gratuite. (le Littré)

Quelques centaines de personnes ont manifesté à Nantes, la nuit dernière pour protester aux cris de "Non à 2007", "Nous voulons rester en 2006", "Le temps passe trop vite", accompagnés de la menace de "monter" à Paris si les revendications ne sont pas prises en compte !
Façon intelligente de tourner en dérision toutes les manifs sérieusement stupides de ces derniers mois.

Mais les cons immuables n'en crèveront pas...
Les vrais cons crament les bagnoles,

Les vrais cons laissent faire...

Vive Jarry et quelques autres !

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Sadam est mort en brave, on voulait l'humilier, il a humilié ses bourreaux...
Ils voulaient l'empêcher de prier, il a prié son Dieu...
Je ne l'ai jamais particulièrement apprécié mais j'admire son courage.
A quoi sert son supplice ?

C'est la justice...
Laquelle ?

Bush père l'avait manqué...

Bush fils a eu sa peau.
Au prix de la mort de milliers d'Américains et de centaines de milliers d'Irakiens...
Je ne suis pas totalement, définitivement, opposé à la peine de mort mais ayons la décence de la désigner par son véritable nom : Vengeance !

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Carnet mondain

Ce n'est même pas un méchant poème.
Les cons prétentieux m'emmerdent...
surtout quand ils se font de la pub
avec la misère du monde...

Les familles Cervantès et de la Mancha tiennent à préciser que le noble hidalgo n'a jamais eu d'enfant.
Il n'est pas question de partager l'héritage...
Sancho Pança a bien avancé, le vilain jaloux, qu'il y eut quelques relations suspectes entre Rossinante (mâle encore fringant, contrairement à ce que prétendent les ignorants) et Dulcinea del Tobosso mais cette liaison est, de toute façon, restée absolument improductive. On s'en serait douté...

Encore que, paraît-il, quelques garçons naquirent jadis des amours du Zeus-Taureau et de la belle Europe...

Mais Dulcinée n'était pas belle et Rossinante n'était pas Zeus.
Donc ceux qui se diraient aujourd'hui enfants de l'aimable chevalier ne pourraient être que des imposteurs (sous réserve d'une analyse d'ADN).
Si une coquecigrue, bien légère la pauvrette, a décidé de proposer un plan Marshall (rien que ça, excusez du peu...) pour les Scouts de France (c'est pas eux ? on s'en fout... ), il ne s'agit que d'un racket électoral.
Les brasseurs de vent peuvent toujours espérer faire tourner d'autres moulins...
Quelqu'un qui lit par dessus mon épaule n'aime pas du tout : "Y a vraiment plus rien de sacré pour toi, ni les bénévoles, ni les associations de bienfaisance, ni la grande littérature, ni la charité chrétienne".

Pas même les misérables...

T'as tout deviné, ma belle...

J'ai parfois des envies de massacre.

J'ai parfois envie d'être con,

aussi con que les cons qui m'emmerdent...

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