petit roman en vers, parfois... envers et contre tout, toujours
Par jean-marie
Loin des flonflons, des gerbes et des larmes de crocodiles,
loin de ces politicards,
loin de ces "bandits qui sont cause des guerres
et qui "N'en meurent jamais," car "on n'tue qu'les innocents "
comme le chantait Montéhus,
j'ai depuis longtemps ma façon de célèbrer cette date...
Je le fais une fois de plus,
(je rabâche peut-être, direz-vous...)
mais je viens de lire cette note rapide :
Extraits de la lettre du commandant Charles de Menditte : "Mourir le dernier jour de la guerre, c’est mourir deux fois !"
Le général à la retraite Alain Fauveau en est persuadé : la bataille de Vrigne-Meuse, les 10 et 11 novembre 1918, fut "la bataille de trop". Celle qui a coûté la vie à 96 soldats de la 163e division d’infanterie alors que les pourparlers d’armistice se déroulaient à Rethondes...
Et combien d'autres ce jour-là, sur tous les fronts...
ce jour de la Victoire fut aussi meurtrier que les autres...
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